Prier

Au réveil ces mots se posent sur mes lèvres

Merci pour cette immense journée qui commence ; que le ciel et la terre réunis soient pour nous tous :  éblouissement gratitude et protection!

L'optimisme et la grâce de l'enfant

Sa joie de découvrir le monde comme moi-même et de remercier le ciel et la terre.

 

 

 

3 westerns -à VOIR ou revoir + mon Top 27 avec en bonus une énorme série culte?

  1. Premier duel féminin au pistolet entre la ténébreuse Joan Crawford (des yeux qui me faisaient un  peu peur à l’adolescence ) et Mercedes Mc Cambridge !  « Johny Guitar »(1954) Réal: Nicolas Ray  avec le mémorable Sterling Hayden.
  2. « L’homme sans frontières » Réal.Peter Fonda (1971) avec Verna Bloom et Peter Fonda…
  3. « La horde sauvage » de l’excellent réal. Sam Peckinpath (1969) avec Willam Holden,Robert Ryan.

Top 26:

1976: The Missouri Breaks de Arthur Penn avec Jack Nicholson et Marlon Brando.

1973: L’homme des hautes plaines/ high plaines drifter de et avec Clint Eastwood.

1972:Juge et hors- la-Loi de John Huston avec Paul Newman et Anthony Perkins.

1971:John Mc Cabe de Robert Altman avec le super tandem Julie Christie /Warren  Betty.

1970:Le reptile/ There was a croocked man de Josph Mankiewicz avec Kirk Douglas et Henry Fonda ( un de mes acteurs préférés).

1969: La horde sauvage ( the wild bunch) du grand Sam Peckinpah avec Robert Ryan et William Holden.

1969: Butch Cassidy et le Kid de Georges Roy Hill avec Paul Newman et Robert Redford et le jeune Bob Dylan yes…

1962: la conquète de l’ouest de John Ford et Henry Hathaway avec Georges Marshall,Richard Thorpe, Henry Fonda,Gregory Peck et James Steward.

1960: Commando station de Budo Boetticher avec l’excellente Nancy Gates et Randolph Scott;

1960: Les 7 mercenaires de John Sturgess avec Yul Brynner et ses potes: Steve Mc Queen , Charles Bronson , Robert Vaughan Lee.

1959: Rio Bravo de Howard Hawks avec Angie Dickinson et l’incontournable paternaliste de service: John Wayne.

1958: Le gaucher ( the left handed) d’Arthur Penn avec Paul Newman.

1956: La prisonnière du désert ( the Searchers) de John Ford avec John W et la belle Nathalie Wood.

1956: La dernière chasse( the last hunt) de Richard Brooks avec Debrah Paget , Robert Taylor et Stewart Granger;

1955: La porte du Diable de Anthony Man avec James Stewart…

1954: Johny Guitar dont j’ai parlé plus haut;

1954: River of no return de Otto Premminger avec o la la! Marylin  Monroe et Robert Mitchum.

1953: L’Appât ( the naked Spur ) d’Anthony Man avec Janet Leigh, Robert Ryan et James Stewart.

1952: Le train sifflera trois fois ( High noon) de Fred Zinneman avec Grace Kelly, Gary Cooper er Lee van Cleef ( et se yeux étranges).

1950: La porte du diable ( Devil’s dorway) d’Anthony Man avec Robert Taylor et Paula Raymond.

1950: La flêche brisée ( broken arrow) de Elmer Daves avec Jaes Stewart et Debrah Paget.

1950: Winchester 73 , de Anthony Man avec Shelley Winters,Rock Hudson et James Stewart.

1948: La ville abandonnée de A.Wellman avec Gregory Peck et Richard Widmark.

1946: Duel au soleil de King Vidor avec Pearl Chavez , Gregory Peck et Joseph Cotten .

1946: My darling clementine de John Ford avec mon préféré Henry Fonda, linda Darnell et Victor  Mature.

d’excellents blogs :https://www.leblogducinema.com

http://www.christoblog.net/liste-des-blogs-cinéma-amateurs-et-individuels.html

Qui ne se souvient de l’incroyable « Breaking bad »série culte avec

Walter White

et Jesse Pinkman …

2008-En showrunner averti,Vince Gillian qui avait déjà oeuvré comme scénariste dans x-files, déroule ici le récit de la série culte emblématique Breaking bad avec ses trois saisons et trente six épisodes, avec en toile de fond la démesure de la drogue, de l’argent.

les personnages de cette fiction envoûtante sont Walter White (Brian Cranston) en chimiste dissimulateur,basculant dans le monde du crime, avec son acolythe Jesse Pinkman (Aaron Paul ) dealer et magouilleur paumé qui va vivre une véritable rédemption allant crescendo au fil des épisodes.

Avec Skyler ( Anna Gunn) l’épouse terrifiée puis complice d’un Walter aux abois, et leur fils Walter Jr en observateur médusé.Pas difficile d’imaginer les script doctors fiévreux , offrant à la série une cohérence minutieuse.Le conflit sous-jacent entre Walter et Jessie fut le fil conducteur de cet excellent drama.

Quelques cliffhangers bien distillés, nous ont tenu en haleine , spectateurs addicts dont je fus.les diffuseurs de l’époque AMS(us), Orange Cinemax, Arte (Fr) laissaient présager les incontournables plateformes à venir, HBO et notre actuel Netflix.

N’hésitez surtout pas à revisiter ou découvrir cette saga déjantée, me faire partager votre avis!

je reviendrai sur un choix de séries et de films, écclectiques à mon goût ; en cinéphage tellement heureux de pouvoir partager avec Vous tous ces moments intenses de cinéma.

 

Je ne pouvais pas vous quitter aujourd’hui sans faire un petit clin d’oeil à David Lynch et son « Blue Velvet » (1986 ).Vous vous souvenez bien sûr de la terrifiante séquence: du face à face d’Isabella Rossellini et Denis Hopper ! à bientôt +++

 

Cinema et inconscient

Si il y  a eu un cinéaste qui a:

possédé un sens aussi aigu de la narration, avec un goût certain pour la dissimulation,

su cacher des informations cruciales, aux spectateurs et même à ses personnages,

fait surgir dans l’esprit du spectateur, des émotions puisées dans l’inconscient collectif,

su distiller l’humour avec subtilité, au beau milieu de scènes ou la tension est significative,

pu  décliner tour à tour, la culpabilité, la peur, voir la perte d’identité du personnage dans sa figure d’éternel innocent persécuté,

au travers de son obsession pour le détail, su contourner avec habileté les codes cinématographiques imposés par la censure:

ce fut bien Luile maître du suspense

 

Erik Truffaz

Pour son parcours musical foisonnant ; un jazzman que je connais depuis tant d’années:  Erik Truffaz ; « salut Rico »; c’était la pause trompette pour Erik et la pause violon pour moi.

Site web Officiel Erik Truffaz

Aggripée au vieux pantalon de papa , avec ton sourire qui renverse le monde et m’étreind au-delà des étoiles Emily  avr. 1981

Un poème de Bonnie Parker …qui fut la passionaria de Clyde Barrow çà démarre fort non?

   ni juger ,ni faire l’apologie du crime, juste s’étonner qu’une main puisse tour à tour écrire » un journal » somme toute presque banal et de l’autre, tenir un gun/ un pistolet ; rentrer pour ne plus jamais en sortir: dans un cycle de violence fatal et sans issue.

Ma fascination pour Faye Dunaway y  est certainement pour quelque chose; au-delà et pour cette histoire il nous faut nous interroger sur les divers aspects de la psyché humaine.

Cette dernière produit parfois à travers des faits divers sanglants :des icônes, des monstres, des héros, des héroines,<<des Robin des bois>> conditionnée par leur éducation , leur enfance ,leur milieu, l’environnement soçial d’une époque donnée .