ni juger ,ni faire l’apologie du crime, juste s’étonner qu’une main puisse tour à tour écrire » un journal » somme toute presque banal et de l’autre, tenir un gun/ un pistolet ; rentrer pour ne plus jamais en sortir: dans un cycle de violence fatal et sans issue.
Ma fascination pour Faye Dunaway y est certainement pour quelque chose; au-delà et pour cette histoire il nous faut nous interroger sur les divers aspects de la psyché humaine.
Cette dernière produit parfois à travers des faits divers sanglants :des icônes, des monstres, des héros, des héroines,<<des Robin des bois>> conditionnée par leur éducation , leur enfance ,leur milieu, l’environnement soçial d’une époque donnée .